Eizo eClient 630L-N User Manual download pdf

3 Maîtriser la plate-forme Citrix aide

à mieux exploiter l’architecture

client léger notamment en termes

de sécurité et d’équilibrage

de charge. Suivre les formations

permet de se tenir à niveau.

3Bâtir une architecture suppose la

maîtrise des technologies réseau.

Les logiciels d’administration four-

nis aident au contrôle des flux

et à l’établissement de la qualité

de service.

3Connaître en détail l’offre maté-

rielle permet de choisir les termi-

naux les mieux adaptés à l’installa-

tion et aux besoins du client. La

présence de périphériques d’au-

thentification constitue un plus.

Les compétences requises

3Les économies réalisées sur l’admi-

nistration du système informatique

compensent largement l’investisse-

ment consenti dans l’achat de

terminaux et de licences logicielles.

3L’architecture sécurisée échappe

aux virus et évite toute mauvaise

manipulation des utilisateurs.

3Le prix des terminaux est jusqu’à

quatre fois moindre que celui des

PC. L’emploi de boîtiers logiques

permet de réaliser un client léger

en réutilisant d’anciens écrans.

L’argumentaire

3Les sociétés équipées

d’un gros système qui veulent

remplacer les anciens

terminaux passifs.

3Les entreprises à la recherche

de terminaux Internet pour

se connecter aux bases

de données et aux portails.

3L’administration, les secteurs

de la logistique, du négoce

et de la santé sont utilisateurs

de très longue date du

client léger.

Profil de clientèle

DÉCISION DISTRIBUTION NUMÉRO 576 / 19 JANVIER 2004

MARCHÉS

À PROSPECTER…

Pourquoi diffuser

plusieurs marques?

À cause du manque

de standardisation.

Les exigences sont

différentes selon que

l’on se raccorde à des

mini ou à des gros

systèmes. De plus,

chaque fabricant

apporte son propre

logiciel d’administra-

tion avec ses avan-

tages et ses

inconvénients.

Les prix sont-ils

disputés?

Oui, il y a une guerre

des prix! Chaque

constructeur veut

conquérir des parts

de marché. D’où l’inté-

rêt de travailler en

amont et de choisir

par anticipation des

modèles sur lesquels

le constructeur peut

protéger notre marge.

Comment abordez-

vous le client?

Au premier contact

avec les directeurs

financier et informa-

tique, nous expliquons

qu’ils peuvent en

obtenir plus pour

moins cher. Pour le

prouver, nous réali-

sons une étude tech-

nique et financière

suivie d’une maquet-

te. Nous nous enga-

geons alors sur le

montant des écono-

mies qui seront

réalisées.

Que comprend

le déploiement?

En tout premier lieu,

la sécurisation des

fermes de serveurs et

le rapatriement des

données stockées sur

les postes de travail.

Vient ensuite la for-

mation du personnel

de l’entreprise cliente.

Le client léger pre

oilà des années que les

analystes annoncent l’ex-

plosion du marché des

clients légers.Près d’une

décennie plus tard,celui-ci devient

une réalité tangible. «Plus que jamais,

l’architecture centralisée redevientd’ac-

tualité», se félicite Laurent Chaume-

reuil, responsable de l’offre Edge

Computing chez Sun. Une situation

confirmée par le cabinet IDC qui, dans

son étude de mars 2003,note une

croissance du marché des clients légers

égale à 10,2%, alors que les ventes de

PC progressaient dans le même temps

de seulement 3%.Aujourd’hui,les

mentalités changent et le mythe du

PC triomphant bat de l’aile. La prolifé-

ration anarchique des ordinateurs

dans les entreprises induit des dépen-

ses de maintenance et de support

plus qu’inquiétantes. Le phénomène

s’accélère avec la généralisation du tra-

vail itinérant et les besoins de sécurisa-

tion qui s’y rattachent. «Aujourd’hui,

les directions informatiques ont besoin

de réduire à tout prix les coûts afin de

dégager les ressources qui profiteront

directement à leur activité »,constate

Patrick Labaste, directeur marketing

chez Neoware.L’architecture client

léger se révèle alors une alternative

séduisante aux PC.Dépourvus de

disque dur,les terminaux se montrent

invulnérables aux virus et laissentpeu

d’initiatives aux utilisateurs qui ne

peuvent accéder qu’aux seules appli-

cations autorisées. Le prix d’achat, pro-

che de 200  dans le cas d’un modèle

d’entrée de gamme sans écran,consti-

tue un argument supplémentaire

pour les entreprises.

Bien que le marché en soit aux prémi-

ces,le cap du million de clients légers

en service dans le monde a été franchi

dès 2002. Comme souvent,les pays

anglo-saxons sont en avance sur le

Vieux Continent. Si plusieurs dizaines

de constructeurs sont sur les rangs,

une minorité réalise l’essentiel des

ventes.Acteur historique du secteur et

numéro un mondial,Wyse devance de

peu en Europe son concurrent direct

Neoware VXL, HP et Fujitsu Siemens

se partagent la plus grosse part du

marché restant. Très diversifiée, l’offre

matérielle va du simple boîtier logique

auquel se rajoute un moniteur,jusqu’à

la tablette sans-fil ultrasophistiquée.

L’ensemble des terminaux inclut les

Yazid Chir, président du groupe Néoclès.

« Argumenter sur les économies

ne suffit pas, il faut démontrer»

L’AVIS D’UN REVENDEUR

Soutenue par Microsoft et Citrix,l’architecture client léger gagne

du terrain dans les entreprises.Une aubaine pour les intégrateurs

et les VAR chargés de refondre le système informatique.

Néoclès

3Activité : intégra-

teur d’infrastructu-

res clients légers

et serveurs.

3Création : 1998.

3Effectif :

100 personnes.

3Siège social :

Saint-Ouen (93)

3CA 2002 : 11,4 M.

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Summary of Contents

Page 1 - Le client léger pre

3 Maîtriser la plate-forme Citrix aideà mieux exploiter l’architectureclient léger notamment en termesde sécurité et d’équilibrage de charge. Suivre l

Page 2 - Des clients etdes revendeurs

Source : IDC, septembre 2003Wyse24,97 %Autres21,81 %Neoware21,09 %VXL16,04 %HP10,16 %Fujitsu Siemens5,93 %Wyse,Neoware et VXL réalisent à eux trois 60